La Commission européenne a rendu son verdict, elle ne mettra pas de bâtons dans les roue de Google dans son projet d'acquisition de DoubleClick, une régie publicitaire en ligne. Ce rachat a fait l'objet d'une enquête de moins de trois mois. Bruxelles a finalement estimé que cette fusion ne donnait pas lieu à des pratiques restrictives et anticoncurrentielles vis-à-vis des acteurs présents sur le marché, et ne présentait pas de préjudice pour les internautes. Un avis que ne partagent pas des associations de protection de la vie privée, qui ont déjà manifesté leur désaccord.